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Le Québec, bien représenté à la maison

mercredi, 8 août 2018
Coupe Du Monde Msa

La province sera très bien représentée lors de l’épreuve de la Coupe du monde de vélo de montagne qu’elle accueillera les 11 et 12 août. En effet, plusieurs Québécois seront des partants de la tranche disputée au Mont-Sainte-Anne, la neuvième d’une série qui en compte dix.

Pas moins de 26 athlètes originaires de la Belle Province seront en action à l’occasion de cet arrêt du circuit mondial. En cross-country, Rébecca Beaumont, Léandre Bouchard, Sarah-Claudie Dostie-Ménard, Catherine Fleury, Raphaël Gagné, Cindy Montambault, Maghalie Rochette et Alexandre Vialle concourront chez les élites. Dans la catégorie des moins de 23 ans (U23), les représentants québécois seront Laurie Arseneault, Raphaël Auclair, Félix Belhumeur, Anthony Bergeron, Félix Burke, Émile Farrell Dessureault, Marc-André Fortier, Félix Longpré, Leya Masson, Sophianne Samson, Amélie Simard, Philippe St-Laurent, Juliette Tétreault, Anne-Julie Tremblay, Philippe Truchon et Victor Verreault. Du côté de la descente, Hugo Langevin et Jonathan Lefrançois participeront à l’épreuve élite.

Arrêt incontournable

« Le circuit de l’UCI et la station du Mont-Sainte-Anne entretiennent une relation précieuse et durable. Et à un an des Championnats du monde, cette édition de la Coupe du monde sera un peu spéciale. Si on se fie à l’an dernier, la finale de l’épreuve de descente devrait donner lieu à un spectacle enlevant. Ce sera aussi l’occasion de voir les meilleurs vététistes au monde, mais aussi et surtout, d’encourager nos talentueux athlètes. Mais ce n’est pas tout. Le Vélirium c’est aussi un enduro et un raid. Tout le monde y trouve son compte. Bref, une fin de semaine qui comblera tous les amoureux du vélo de montagne. D’ailleurs, j’espère qu’ils seront nombreux. Nous y serons, c’est certain », a souligné le coordonnateur technique du secteur vélo de montagne.

« Le parcours du Mont-Sainte-Anne est un des plus redoutés sur le circuit. Disons que c’est la bête noire de plusieurs athlètes. Il est particulièrement difficile, tant sur le plan technique que physique. Il y a peu de récupération, donc les descentes se font en état de fatigue. Avec la fatigue grandissante au fil des tours, il est plus facile de faire des erreurs techniques qui peuvent coûter cher », a, pour sa part, indiqué Serge Desrosiers, entraîneur de l’équipe du Québec.

Bien qu’il n’y aura pas d’équipe du Québec, l’entraîneur de la formation du fleurdelisé sera présent afin de prêter assistance aux athlètes qui ne bénéficient pas de l’encadrement d’une équipe professionnelle.

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